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CHARGE D'ETUDES ACTUARIELLES




Actuaire-risque-IARDT-Santé-dommages


LE CHARGÉ D'ÉTUDES ACTUARIELLES


AUTRES INTITULES DU POSTE

  1. Actuaire junior
  2. Chargé d’études techniques,
  3. Conseiller en études actuarielles

NB : L’intitulé peut se décliner selon le type de risques (vie, IARDT ou dommages, santé…) ou selon la dominante dans l’activité (réassurance, coassurance, gestion d’actifs/passifs,
conception/adaptation de produits, gestion/souscription des contrats, organisation…).

FINALITÉ OU RAISON D'ÊTRE DU POSTE

Le chargé d’études actuarielles intervient à différentes phases de la création ou du développement des produits d’assurance pour réaliser des études (simulations, modélisation). Il peut participer à l’élaboration et à l’évolution des produits (garanties, tarification…), évaluer et analyser les risques de souscription (prévisions de survenance des sinistres, rentabilité…), identifier et corriger des dérives éventuelles, calculer les provisions techniques nécessaires à l’entreprise d’assurances…

RATTACHEMENT HIÉRARCHIQUE

  1. Direction générale
  2. Direction financière
  3. Responsable département actuariat
  4. Responsable cabinet de courtage


RELATIONS FONCTIONNELLES

  1. Réseau commercial
  2. Services souscription, juridique, comptabilité-finance, marketing, informatique
  3. Souscripteurs réassurance


LE POSTE


ACTIVITÉS PRINCIPALES DU CHARGÉ D’ÉTUDES ACTUARIELLES



Conception et adaptation de produits

  1. Participer à la création de produits d’assurance ou à l’amélioration des caractéristiques de l’existant en termes de garanties et/ou de tarification au travers d’études techniques, mathématiques, financières…
  2. Rédiger les cahiers des charges actuariels permettant de suivre l’évolution des produits, les notes techniques servant à la modélisation des nouveaux produits.
  3. Participer à l’élaboration des contrats types, notamment sur les aspects tarifaires et les garanties.
  4. Réaliser des simulations de l’évolution des produits d’assurances.

Souscription et gestion des contrats

  1. Accompagner techniquement les acteurs impliqués dans l’élaboration des contrats en évaluant les risques financiers des souscriptions (calculs de tarifications spécifiques et des risques de sinistralité).

Gestion des actifs/passifs

  1. Calculer les provisions techniques nécessaires à l’indemnisation des assurés (venant en représentation des droits de créances des assurés).
  2. Étudier, analyser les risques des différents types de placements et des choix d’investissement.
  3. Simuler et modéliser la rentabilité financière de la stratégie d’investissement.

Suivi de la rentabilité des produits d’assurances et du portefeuille de contrats

  1. Établir les bilans et comptes prévisionnels.
  2. Effectuer des expertises actuarielles sur les bilans et comptes de résultats.
  3. Créer et mettre en œuvre les tableaux de bord d’analyse des activités.

Audit et expertise

  1. Réaliser des audits destinés à améliorer l’organisation ou certaines procédures.
  2. Mener des expertises actuarielles liées à l’étude de la rentabilité et de l’évolution des activités: tarification, calculs de provisions, analyse de la sinistralité des portefeuilles de contrats…





EFFECTUER D'AUTRES RECHERCHES


VARIABILITÉ DES ACTIVITÉS

  1. Les activités peuvent être spécialisées dans le domaine financier (rentabilité des activités, gestion d’actifs/passifs…).
  2. Elles s’exercent généralement avec une dimension internationale pour les opérations de réassurance et de coassurance.

  

QUELLE REMUNERATION POUR LE CHARGÉ D’ÉTUDES ACTUARIELLES




  1. Jeune diplômé : entre 25 et 29 k€
  2. Jeune cadre : entre 30 et 35 k€
  3. Cadre confirmé : entre 36 et 80 k€


EMPLOYEURS

  1. Sociétés anonymes d’assurances
  2. Sociétés d’assurances mutuelles
  3. Sociétés mutuelles d’assurances
  4. Sociétés de réassurance
  5. Cabinets de courtage
  6. Cabinets de conseil actuariel


LE PROFIL


Diplômes

  1. Maîtrise, DESS de mathématiques, statistiques, économétrie, finance
  2. Magistère de l’ULP (Université Louis Pasteur de Strasbourg)
  3. ISFA (Institut de Science Financière et d’Assurances de Lyon), Isup (Institut de Statistiques de l’Université de Paris VI), DESS d’actuariat de l’Euro-Institut d’Actuariat de Brest (Euria) ou de l’Université de Paris IX Dauphine
  4. Diplôme d’Études Supérieures Économiques (Dese), mention actuariat, du Cnam
  5. MBA de l’Essec
  6. Ensae (École Nationale de la Statistique et de l’Administration Économique).
  7. Collège des Ingénieurs
  8. Diplôme d’actuaire du CEA (Centre d’Études Actuarielles) de l’Institut des Actuaires préparé en formation professionnelle continue.

Expérience

  1. Des postes sont ouverts aux débutants. Néanmoins, l’expérience exigée peut varier considérablement dans une fourchette de deux à six ans selon les contenus d’activités associés au poste.

Compétences

  1. Maîtrise des techniques et outils statistiques.
  2. Maîtrise des outils informatiques : traitement de texte
  3. (Word…), tableurs (Excel…), logiciels de traitement statistique
  4. (SAS…), de gestion de bases de données
  5. (Access…), programmation en Visual Basic.
  6. Connaissances juridiques et fiscales appliquées aux produits d’assurance.
  7. Connaissances comptables et financières appliquées à la gestion d’entreprise.
  8. Connaissances en organisation.
  9. Compétences en management de projets.
  10. Compétences rédactionnelles.
  11. Maîtrise de l’anglais dans un domaine où l’activité peut avoir une dimension internationale.






PERSONNALITÉ D'UN CHARGÉ D’ÉTUDES ACTUARIELLES

  1. Capacités d’analyse et de synthèse pour le traitement des informations et l’interprétation des résultats.
  2. Rigueur dans le raisonnement, la réalisation de simulations et la manipulation de données chiffrées.
  3. Autonomie et sens de l’organisation pour coordonner et gérer simultanément plusieurs études et activités.
  4. Goût du travail en équipe pour accompagner différents acteurs dans leurs tâches.
  5. Aisance relationnelle pour communiquer avec des interlocuteurs de différentes fonctions.
  6. Ouverture d’esprit et sens créatif pour être capable de remettre en cause l’existant et de faire évoluer les procédures.


LA MOBILITÉ


Postes précédents (P-1)

  1. Chargé d’études statistiques
  2. Économètre
  3. Contrôleur de gestion
  4. Ingénieur de développement en logiciel de modélisation

Évolution professionnelle (P+1)

  1. Actuaire confirmé
  2. Gestionnaire d’actifs
  3. Souscripteur assurances collectives
  4. Souscripteur réassurance


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A lire également: 


  1. L'Inspecteur-vérificateur
  2. le Chargé d’études actuarielles
  3. Le Chargé d'études marketing-assurances
  4. Le Responsable projet marketing-Assurances
  5. Asset Manager - Gestionnaire d’actifs-immobiliers ou de valeurs mobilières
  6. L'Inspecteur commercial d'Assurances
  7. Le Souscripteur dommages IARDT
  8. Le Souscripteur d'Assurances collectives





L'INSPECTEUR COMMERCIAL D'ASSURANCE




Inspecteur-commercial-Assurances



INSPECTEUR COMMERCIAL EN ASSURANCE


AUTRES INTITULÉS



  1. Inspecteur régional d’Assurance,
  2. Inspecteur (vie, IARDT…),
  3. Inspecteur des ventes en Assurance
  4. Responsable (secteur, équipe commerciale) d’Assurance,
  5. Manager commercial d’Assurance


FINALITÉ DU POSTE


L’inspecteur commercial anime un réseau de commerciaux salariés (conseillers en assurances) et/ou non-salariés (agents généraux, courtiers), organisé par secteur géographique et, éventuellement, par type de marché d’assurances (IARDT, vie…), dont il supervise les activités, participe au recrutement et à la formation

RATTACHEMENT HIÉRARCHIQUE


  1. Responsable commercial (secteur ou région)

RELATIONS FONCTIONNELLES


  1. Direction commerciale et département marketing
  2. Réseau commercial (conseillers en assurance) ou mandatés (agents généraux)
  3. Technico-commerciaux
  4. Contrôle technique et prévention
  5. Souscripteurs
  6. Juristes
  7. Courtiers
  8. Prescripteurs (experts-comptables, notaires…)

LE POSTE


ACTIVITÉS PRINCIPALES



Management, recrutement, formation


  1. Encadrer, animer et contrôler les activités d’un réseau de vente salarié (conseillers en assurance) et/ou non-salarié (agents généraux).
  2. Organiser, coordonner la prospection.
  3. Participer au recrutement des nouveaux collaborateurs salariés ou non-salariés.
  4. Former les nouveaux commerciaux en les assistant lors des premiers contacts sur le terrain ou bien former les agents généraux et courtiers sur les nouveaux produits.


Développement commercial


  1. Être le garant du développement des ventes.
  2. Négocier les objectifs commerciaux et les moyens nécessaires (humains, budgétaires, appuis techniques, outils promotionnels et marketing) pour les atteindre.
  3. Concevoir et mettre en œuvre des plans d’actions commerciales ciblés par type de produit d’assurance ou segment de clientèle.
  4. Être présent sur le terrain pour accompagner la force de vente lors d’actions commerciales, par exemple liées au lancement des nouveaux produits ou bien lors de campagnes promotionnelles.
  5. Représenter l’entreprise lors de manifestations à caractère commercial (salons, foires) et être un des acteurs de la vie institutionnelle sur son secteur.
  6. Développer et fidéliser un réseau de prescripteurs.
  7. Effectuer un contrôle régulier des résultats commerciaux de la force de vente.
  8. Opérer un suivi de la qualité des prestations.


Support technique


  1. Définir ou aider à déterminer les besoins de la clientèle (visites de risques), puis superviser le montage technique des dossiers.


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ACTIVITÉS SECONDAIRES


  1. Contribuer à la définition de la politique commerciale sur son secteur.


VARIABILITÉ DES ACTIVITÉS



  1. L’inspecteur commercial vie peut avoir à développer et fidéliser un réseau d’apporteurs d’affaires ou prescripteurs composé de courtiers, conseillers financiers, gestionnaires de patrimoines, notaires, experts-comptables…


RÉMUNÉRATION



  1. Jeune cadre : entre 27 et 35 k€
  2. Cadre confirmé : entre 35 et 60 k€
  3. La rémunération peut varier dans des proportions importantes selon le niveau d’expérience, la taille du réseau (nombre de commerciaux, importance des portefeuilles en chiffres d’affaires), et le type de produit. 
  4. Elle est généralement constituée d’une partie fixe (salaire) garantie la première année et de parties variables (commissions, primes) auxquelles s’ajoute le remboursement de frais.


EMPLOYEURS



  1. Sociétés anonymes d’assurances
  2. Sociétés d’assurances mutuelles
  3. Cabinets de courtage


LE PROFIL





Diplômes



  1. Licence, maîtrise (sciences économiques, gestion, droit)
  2. DESS assurance
  3. Écoles supérieures de commerce
  4. Diplôme de l’École Nationale d’Assurances (ENAss)


Expérience


Les postes ouverts aux jeunes cadres sont généralement proposés après une formation interne de plusieurs mois (six mois à deux ans selon l’entreprise) au métier et méthodes d’inspection commerciale, ainsi qu’aux produits d’assurance.
Cette formation associe cours théoriques et stages sur le terrain.
Les candidats confirmés doivent disposer d’une expérience d’au moins trois à cinq ans :
Soit d’encadrement d’équipes commerciales s’appuyant, de préférence, sur la vente et le conseil de produits de l’univers de l’assurance,
Soit dans des postes occupés au siège de l’entreprise d’assurances.


Compétences



  1. Maîtrise du management d’une ou plusieurs équipes de collaborateurs commerciaux (salariés et/ou non-salariés) : être capable de motiver une force de vente, savoir recruter, former, assister les collaborateurs, puis gérer et contrôler les activités d’un réseau commercial.
  2. Connaissances techniques de l’assurance pour apporter une dimension de conseil (analyse de risque, tarification) auprès des commerciaux dans l’élaboration de certains contrats complexes.
  3. La connaissance du tissu économique et relationnel (régional ou local) est un atout.


Personnalité



  1. Excellent relationnel vis-à-vis des membres du réseau commercial, des services centraux de l’entreprise et de la clientèle.
  2. Qualités commerciales qui s’expriment non seulement par une connaissance approfondie des méthodes et techniques de commercialisation des produits d’assurance, mais aussi par un sens développé de la négociation.
  3. Qualités d’organisation pour coordonner et piloter les activités du réseau commercial.
  4. Dynamisme et enthousiasme pour communiquer aux collaborateurs son goût du challenge.
  5. Qualités relationnelles pour développer un esprit d’équipe au sein du réseau des producteurs salariés, entretenir les contacts avec les prescripteurs et apporteurs d’affaires (courtiers), et fidéliser la clientèle.
  6. Talents d’animation et de pédagogie.
  7. Prise de recul pour être apte, sur le terrain, à conseiller les commerciaux lors de difficultés de commercialisation.
  8. Disponibilité et réactivité vis-à-vis des collaborateurs du réseau commercial et des clients.


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LA MOBILITÉ

Postes précédents (P-1)


  1. Conseiller en assurances
  2. Chargé de clientèle en entreprise d’assurances, cabinet de courtage
  3. Responsable commercial dans la vente de services
  4. Chef de département au siège d’une entreprise d’assurances


Évolution professionnelle (P+1)


  1. Responsable commercial régional
  2. Responsable commercial d’une branche de produits d’assurances (Vie, IARD, assurances collectives…)
  3. Directeur de bureau d’assurances
  4. Agent général
  5. Courtier ou collaborateur en cabinet de courtage
  6. Marketeur promotion des ventes
  7. Vérificateur de risques en dommages
  8. Animateur ou responsable formation

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A lire également: 

  1. Inspecteur-vérificateur
  2. Chargé d’études actuarielles
  3. Chargé d'études marketing-assurances
  4. Responsable projet marketing-Assurances
  5. Asset Manager Gestionnaire d’actifs-immobiliers ou de valeurs mobilières
  6. Souscripteur dommages IARDT
  7. Souscripteur Assurances collectives






INGÉNIEUR EFFICACITÉ ÉNERGÉTIQUE ENERGIE RENOUVELABLE



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INGÉNIEUR D'ETUDES EN ENERGIES RENOUVELABLES ET EFFICACITÉ ÉNERGÉTIQUE  




AUTRES INTITULÉS DU POSTE



  1. Ingénieur thermicien,
  2. Ingénieur études et conseil en efficacité énergétique et développement durable,
  3. Ingénieur conseil en énergie,
  4. Ingénieur conseil en énergies renouvelables,
  5. Ingénieur conseil en maîtrise de l’énergie.

FINALITÉ DU POSTE

L’ingénieur d’études énergies renouvelables et efficacité énergétique réalise des études permettant d’optimiser la consommation d’énergie et d’intégrer les énergies renouvelables dans les bâtiments.





RATTACHEMENT HIÉRARCHIQUE

Responsable du pôle études thermiques.

RELATIONS FONCTIONNELLES


  1. Les architectes.
  2. Les maîtres d’ouvrage.
  3. Les organismes de certification (PROMOTELEC, CERCAL…).
  4. Les industriels (matériaux de construction, équipements…).
  5. Les collectivités territoriales.


LE POSTE


QUELLES SONT LES ACTIVITES PRINCIPALES DE L'INGENIEUR D'ETUDES EN ENERGIES RENOUVELABLES ET EFFICACITE ENERGETIQUE?



ÉTUDES D’AUDIT ET D’OPTIMISATION DES CONSOMMATIONS D'ENERGIE DES BÂTIMENTS.


  1. Analyser le plan détaillé du projet de logement (construction ou rénovation) en lien avec l’architecte et le maître d’ouvrage, au regard du niveau attendu de performance énergétique du ou des bâtiment(s).
  2. Étudier le plan du quartier, l’orientation des bâtiments, les volumétries et les contraintes externes liées à l’emplacement du bâtiment.
  3. Identifier les déperditions d’énergie en repérant les éléments susceptibles de générer des ponts thermiques : fenêtres, coffres de volets roulants, liaisons planchers/ façades, sol/toiture, balcons… et les intégrer dans le logiciel de simulation.
  4. Calculer le niveau d’isolation global du bâtiment.
  5. Effectuer des calculs de consommation relatifs aux cinq usages d’énergie : chauffage, eau chaude sanitaire, ventilation, rafraîchissement et éclairage.
  6. Déterminer les gains possibles de consommation d’énergie selon ces cinq usages.
  7. Effectuer un diagnostic approfondi des consommations et réaliser un audit du bâtiment pour identifier les déperditions d’énergie à l’aide d’outils spécifiques (caméras thermiques par exemple), dans le cas d’une rénovation.

ÉLABORATION DE SOLUTIONS TECHNIQUES ET CHIFFRAGE DES COUTS.



  1. Déterminer les caractéristiques du bâti pour aboutir au niveau de consommation choisi.
  2. Proposer un panel de solutions à l’architecte en fonction des usages du bâtiment pour répondre aux objectifs de consommation : orientation du bâtiment par rapport au vent et à l’ensoleillement, forme du bâti pour éviter les ponts thermiques, etc.
  3. Proposer des matériaux à privilégier pour l’enveloppe du bâtiment, sa structure, les vitrages, les isolants (type et épaisseur)…
  4. Proposer des équipements adaptés au bâtiment pour améliorer les performances énergétiques, notamment des équipements axés sur les énergies renouvelables (biomasse, photovoltaïque, géothermie…).
  5. Apprécier la faisabilité technique des solutions proposées notamment en cas de rénovation en fonction des contraintes existantes du bâti.
  6. Évaluer le coût des différentes solutions et élaborer des hypothèses de retour sur investissement.
  7. Présenter l’offre technique au maître d’ouvrage et à l’architecte.
  8. Rédiger la synthèse de l’étude thermique en indiquant les hypothèses de calculs et les résultats.
  9. Communiquer la synthèse au maître d’ouvrage et au certificateur.

DOCUMENTATION PROFESSIONNELLE

   

EFFECTUER D'AUTRES RECHERCHES





CONSEIL TECHNIQUE AUPRÈS DES ARCHITECTES ET MAÎTRES D’OUVRAGE.



  1. Commenter les plans de l’architecte en proposant des solutions économes en énergie.
  2. Aider à la rédaction du cahier des charges du projet en intégrant les contraintes de consommation d’énergie.
  3. Participer à la préparation du dossier auprès des certificateurs pour obtenir les labels correspondant au niveau de performance visé1.
  4. Adapter les propositions en cours de chantier, en cas de problème technique dans la réalisation.
  5. Assurer une veille technologique et entretenir des relations avec les industriels pour être informé des produits innovants (matériaux).
  6. Conseiller les collectivités territoriales sur leur consommation et sur les possibilités de production d’énergie décentralisée dans le cadre d’un schéma de développement du territoire.
  7. Conseiller les entreprises sur leur plan d’économie d’énergie en lien avec leur stratégie énergétique (dans le cadre d’un bilan carbone par exemple).

1. La performance énergétique est hiérarchisée en niveaux : le minimum réglementaire correspond à la Réglementation Thermique en vigueur (actuellement RT 2005). Les niveaux suivants sont ensuite la Haute Performance Energétique, la Très Haute Performance Energétique, le niveau Bâtiment Basse Consommation et le Niveau Bâtiment à Énergie Positive.

ACTIVITÉS ÉVENTUELLES


L’ingénieur d’études énergies renouvelables et efficacité énergétique peut suivre le chantier de construction ou de rénovation du bâtiment afin de vérifier l’adéquation des travaux réalisés par rapport au cahier des charges. C’est le cas notamment lorsqu’il n’y a pas de pôle dédié à la maîtrise d’œuvre au sein du bureau d’études.







VARIABILITÉ DES ACTIVITÉS


Les activités des ingénieurs études énergies renouvelables et efficacité énergétique varient en fonction des domaines d’intervention développés dans les bureaux d’études.


  1. Pour les bureaux d’études travaillant sur le label Haute Qualité Environnementale, les études ne portent pas uniquement sur l’énergie, elles intègrent plus largement les problématiques de développement durable. Il s’agit par exemple de mettre en place des « chantiers propres » (recyclage des déchets, environnement et développement durable, etc.).
  2. La réalisation d’un bilan carbone pour les collectivités ou les entreprises peut faire partie des interventions proposées.
  3. Cette démarche, rendue obligatoire à l’issue des travaux du Grenelle de l’Environnement pour les entreprises au-delà d’un certain seuil d’effectif, permet d’identifier l’ensemble des consommations de l’entreprise (parc machines, parc véhicules, déplacement des salariés) ou de la collectivité (trafic, chauffages des écoles…) dans le but de réduire les impacts sur l’environnement.
  4. Les ingénieurs d’études énergies renouvelables et efficacité énergétique peuvent également intervenir en matière d’audit énergétique auprès des particuliers.


  1. Certains bureaux d’études développent une activité de simulation thermique dynamique. Cette technique innovante permet de prendre en compte en temps réel l’inertie thermique du bâtiment, les ponts thermiques, le comportement des usagers, la stratégie de régulation. Elle permet d’identifier et de quantifier l’impact des différentes déperditions énergétiques (ponts thermiques, infiltration, ventilation…) afin de valider les concepts et solutions techniques retenues. Dans le cadre du suivi des consommations en énergie des bâtiments, les ingénieurs d’études doivent définir les calculs à effectuer, les types de capteurs à mettre en place et les emplacements. Cette technique et l’utilisation des logiciels associés nécessitent une formation spécifique.
  2. Cette activité de pointe n’est exercée que par quelques bureaux d’études spécialisés.
  3. Le champ des activités des bureaux d’études thermiques peut également s’étendre en amont et en aval des projets de construction. Les interventions en amont sont de plus en plus fréquentes, par exemple en matière d’urbanisme dans le cadre des démarches d’Approche environnementale de l’urbanisme (AEU). Certains élargissent également leur champ d’action en aval en proposant à leurs clients des prestations de conseil pour l’utilisation et l’exploitation des installations et des bâtiments (conseils sur l’utilisation du chauffage, de l’aération…).

Le contenu des études thermiques peut varier selon la spécialité du bureau d’études. Si certains bureaux d’études se concentrent sur l’enveloppe du bâti et le système constructif employé (matériaux notamment), d’autres orientent leur conseil sur des solutions permettant d’utiliser les énergies renouvelables et de produire de l’énergie décentralisée (panneaux photovoltaïques, géothermie, biomasse…).

REMUNERATION


  • Jeune diplômé : entre 30 et 35 k€
  • Jeune cadre : entre 35 et 40 k€


EMPLOYEURS


  1. Bureaux d’études thermiques.
  2. Sociétés d’études et de conseil en ingénierie.











LE PROFIL


DIPLÔMES REQUIS


Écoles d’ingénieurs en énergie et environnement, en génie thermique (par exemple ENSE3 à Grenoble, INSA, ENSTA, Centrale, Polytech’Orléans…).

DURÉE D'EXPÉRIENCE

Le poste d’ingénieur énergies renouvelables et efficacité énergétique est accessible aux jeunes diplômés ayant déjà réalisé des stages dans ce domaine.

COMPÉTENCES TECHNIQUES



  1. Connaissance des différentes méthodes de calculs énergétiques et thermiques.
  2. Connaissances techniques des bâtiments (thermique, étanchéité) pour comprendre la conception du bâtiment, identifier les procédés de construction et rechercher les déperditions énergétiques, etc.
  3. Connaissances des réglementations thermiques en vigueur et du cadre réglementaire de la maîtrise de l’énergie.
  4. Maîtrise des techniques d’audit énergétique des bâtiments tertiaires.
  5. Connaissances techniques sur le dimensionnement des équipements en énergie renouvelables (solaire thermique, photovoltaïque…).
  6. Maîtrise des logiciels de calculs thermiques bâtiment (par exemple logiciel Perrenoud) : logiciel de calcul réglementaire, de dimensionnement…
  7. Maîtrise des techniques de thermographie (caméra infrarouge) et de l’utilisation des outils de simulation thermique dynamique pour réaliser les audits énergétiques.




TRAITS DE PERSONNALITÉ



  1. Dynamisme et curiosité par rapport à la thématique énergie et environnement.
  2. Sensibilité à la maîtrise de l’énergie.
  3. Sens du service (en lien avec les enjeux de maîtrise de l’énergie), pour comprendre les besoins exprimés, répondre dans les délais, avec la qualité attendue et adapter son conseil au niveau de connaissance de l’interlocuteur.
  4. Rigueur et précision dans les études réalisées.
  5. Qualités relationnelles (écoute et contact) avec les différents interlocuteurs.
  6. Capacités d’argumentation et de négociation pour convaincre les architectes ou maîtres d’ouvrage des techniques, choix et matériaux à utiliser.
  7. Capacité à concilier autonomie et travail en équipe.
  8. Mobilité géographique régionale pour les visites de site.

LA MOBILITÉ


ÉVOLUTIONS PROFESSIONNELLES (P+1)



  1. Responsable de pôle études thermiques.
  2. Chargé de mission « efficacité énergétique » au sein des collectivités locales.
  3. Conseiller en maîtrise de l’énergie dans des grandes entreprises ou dans les collectivités locales.



Source : Apec

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